L'aube se glisse sous les draps,
mon corps s'éveille tout bas,
les doigts dansent sur cette couche blême,
la lumière brille sur mon front
comme un diadème.
Le matin est si long à venir,
dans mes bras il n'y a personne à tenir,
il faut pourtant rejoindre la terre ferme,
à ce doux songe mettre un terme.
La vis s'affole
La vie s'ébat,
Vite, vite retentissent mes pas.
C. S.
mon corps s'éveille tout bas,
les doigts dansent sur cette couche blême,
la lumière brille sur mon front
comme un diadème.
Le matin est si long à venir,
dans mes bras il n'y a personne à tenir,
il faut pourtant rejoindre la terre ferme,
à ce doux songe mettre un terme.
La vis s'affole
La vie s'ébat,
Vite, vite retentissent mes pas.
C. S.
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